
Morts ou vifs – Pour une écologie des arts vivants
Julie Sermon analyse les résonances des problématiques écologiques dans le champ des arts vivants
« Ce plan doit permettre à notre pays d’être prêt. » — Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique
Le PNACC-3 se décline en 52 mesures opérationnelles couvrant tous les impacts du changement climatique, sur l’ensemble des territoires et dans tous les secteurs d’activité : agriculture, santé, énergie, forêt, infrastructures, tourisme, urbanisme, littoral, montagne, etc.
Il s’inscrit dans une planification progressive, avec des actions prévues à court, moyen et long termes, et place l’adaptation comme un pilier central des politiques publiques environnementales, sociales et économiques.
La grande nouveauté du PNACC-3 réside dans son ancrage territorial :
Pour accompagner la mise en œuvre du plan, des moyens financiers conséquents ont été mobilisés :
Autre avancée importante : le gouvernement envisage de rendre opposable la TRACC (Trajectoire de Réchauffement de Référence pour l’Adaptation au Changement Climatique). Cela permettrait d’intégrer des hypothèses climatiques robustes dans le droit, notamment dans l’urbanisme, la gestion des risques ou la planification territoriale.
Le PNACC-3 tient compte des retours de la concertation publique organisée fin 2024, qui a permis d’ajuster plusieurs mesures, notamment :
Julie Sermon analyse les résonances des problématiques écologiques dans le champ des arts vivants
Pour un art écologique, inclusif et engagé - Par Valérie Belmokhtar
Ce numéro conçu par les services de la Direction générale de la création artistique du ministère de la Culture, aborde…